DANS L’OMBRE DE MON CORPS (partie 1)
Après toutes ces années à me tenir droite et me faire dire à presque chaque jour de mon existence depuis l’âge de 16 ans (parfois de façon respectueuse et parfois de façon plutôt primate) que j’avais un beau corps, des beaux bras, des abdos d’enfer, des belles petites fesses, des beaux cheveux… et bien c’est aujourd’hui que je sors de l’ombre et que je crie haut et fort que mon corps, mon paraître a été à la source de multiples problèmes de ma vie.
Après une enfance vécue plutôt loin des doux modèles de familles qui vivent entourés d’amour, de fierté et d’encouragement, chez nous il n’y avait rien pour laisser place au développement de l’estime de soi. Force d’admettre que dès que j’ai commencé à recevoir des compliments et voir que mon corps pouvait même devenir un ‘outil’ pour avancer dans la vie, ce ne fût pas très long que j’ai embarqué dans le bateau.
Et la roue s’est mise à tourner… Boulimie sportive, problèmes digestifs, désordres hormonaux occasionnant des up and down mentaux permanent à en penser que j’étais bipolaire.
Je vous jure que les journées où je sortais sans me faire complimenter ou regarder affectaient mon état mental. Mon ego en prenait tout un coup, cet égo qui devenait de plus en plus gourmand toujours à la recherche de buffet à volonté d’éloges pour prendre de plus en plus le contrôle de ma vie. Et le pire dans tout cela c’est que je n’étais jamais assez bien et je devenais de plus en plus exigeante envers moi-même.
Côté sympathique on repassera, admettons que j’étais loin d’être la fille la plus accessible. Sois les femmes, avouons le me « bitchais » par jalousie ou encore on me disait que j’étais « intimidante » de par ma façon de me tenir droite affichant un air d’estime de soi inatteignable. Et combien triste, peureuse et non-confiante j’étais pour la plupart de mon temps cachée derrière cet ombre. Continuellement dans la comparaison et on s’entend des ‘plus belles’ il y en avait toujours, si j’avais le malheur de voir une femme mieux que moi mon ego s’empressait de rajouter le CV de mes accomplissements (3 enfants, business, entraineur….) pour montrer (à mon ego) que MOI j’étais plus « hot ».
Combien de fois me suis-je privé à m’offrir du bon temps (amour, famille, enfants) au détriment de ce corps sacré. Mon ex avait un talent exceptionnel de cuisinier et il l’a encore je ne peux juste plus en profiter ;). Il se plaisait à me dire « tu ne veux pas voir ce que je mets dans mes recettes » car il savait assurément que soit je me limiterais sur la consommation de son art ou soit qu’il me perdait le lendemain pour une longue sortie de course afin de brûler ces excès de calories. J’avais continuellement une balance dans ma tête. Les gens croyaient que je me privais de manger….OUF si vous saviez comment j’aime trop manger ça fait partie des grands moments de bonheur de ma vie. Non le problème c’était pas l’alimentation c’était la surconsommation d’entrainement afin de préserver une image intacte.
Évoluant dans le domaine de l’entrainement avais-je d’autres choix que de me préserver ? Reste que c’était une bonne carte d’affaires avouons-le ! Et attention soyons claire, je ne viens pas militer le laisser aller, le surpoids et la mauvaise alimentation. Non je veux juste exposer ma réalité d’extrémiste perfectionniste, de cette dépendance qui a eu un impact majeur sur ma vie et qui pour être honnête n’est pas encore guérie totalement. Admettons que je suis en rémission en espérant un jour trouver le remède pour éliminer complètement la source en attendant je soigne les symptômes.
Combien de bon temps en famille, en amour ou pour moi même ai-je sacrifié pour ce corps ? Ce corps qui en fait m’emprisonnait totalement. J’étais tout simplement à la merci de cette maison qui m’abrite croyant être à l’écoute des signes mais pendant tout ce temps je ne respectais pas la personne que j’étais et je passais à côté de beaux moments. En fait j’étais à l’écoute de mon EGO, ce mini-moi qui me ramenait d’où je venais, dans les programmations de mon enfance où pour réussir et être complimentée je devais en baver et encore peu importe les efforts et résultats il y avait toujours quelque chose de pas correct. Un monde où la violence primait sur l’amour. Il était donc normal pour moi de me faire violence continuellement pour être de plus en plus « remarquée ».
Jusqu’au jour où à travers mon insatiable grande soif de connaissances dans une formation de nature thérapeutique à la recherche d’une meilleure compréhension de ce que j’appelais « la machine » j’ai eu la chance d’avoir cette professeure exceptionnelle qui a été le début d’un long processus qui découlerait sur tous les domaines de ma vie, celui dans lequel je suis présentement…
Alors que nous étions dans un weekend anatomique et que l’on étudiait les analyses posturales, enseignement que j’avais déjà eu dans un autre domaine d’étude mais qui n’avait été abordé qu’en surface (musculaire et squelettique), le professeure me demanda de lui servir de modèle devant tous les élèves. Certains de s’exprimer «on sait bien elle, elle est parfaite», sentiment de satisfaction qui soyons honnête, venait nourrir cet ego.
Bref à la finale de sa démonstration, elle demanda aux autres élèves de se placer en équipe pour débuter l’analyse de chacun sans ne jamais rien mentionner sur mes résultats et prescriptions de mouvements à faire pour corriger s’il y avait lieu.
Je lui demanda donc «C’est quoi mon résultat à moi ?» car l’analyse en surface était effectivement presque parfaite à quelques petits détails près.
Et sa réponse me résonne encore chaque jour dans ma tête, chaque jour où cet ego tente de me projeter à nouveau là d’où je viens.
« Toi Linda tu dois assouplir ton cœur »….et elle repartit comme si elle ne m’avait rien dit. Sans aucune explication.
« Assouplir ton cœur ?????? » quelle phrase clichée de YOGI… Mais de quoi elle parle. Je suis en « full shape » mon cœur est plus souple que n’importe qui, je m’entraîne, je fais du yoga, je respire, je médite….Ce cœur il est « parfait »…
Cette phrase a résonné encore plusieurs mois dans ma tête me demandant continuellement ce qu’elle avait voulu dire car trop fière pour oser lui dire que je ne comprenais pas. Jusqu’au jour où….
Bon comme mes textes sont trop longs je vous reviendrai avec la suite dans un futur rapproché ☺
En attendant vous pouvez toujours me partager votre perception sur le sens de cette phrase. Et comme on est tous unique probablement que les perceptions de chacun seront différentes.
Sans jugement et sans critique
Peace, luv and ….
Petit extra tiré de mon film fétiche « eat, pray and love » si le coeur vous en dit:
La physique de la quête : une force dans la nature régit par des lois aussi réelles que la loi de la gravitation. Le principe de la physique de la quête s’énonce à peu près ainsi : Si vous êtes assez courageux pour abandonner tout ce qui vous est familier et rassurant et qui peut consister en n’importe quoi de votre maison à de vieux ressentiments pour vous embarquez dans un voyage à la recherche de la vérité qu’elle soit extérieur ou intérieur et si vous être vraiment disposer à considérer tout ce qui peut se passer au cours de ce voyage comme un signe et si vous accepter de voir en les personnes que vous rencontrez en chemin des professeurs … Si enfin, vous êtes prêt par-dessus tout à affronter certaines réalités très cruelles de vous-même et à leur pardonner alors la vérité ne vous sera pas refusée …
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Mon SENTIment pur de liberté….
Cette semaine dans un contexte donc j’éviterai d’aborder (par respect pour la personne concernée et le sujet n’étant pas la personne) j’ai senti qu’on a voulu acheter ma liberté. Dans un entretien texto il y avait: je te rendrai ta liberté….tout d’abord je déteste les textos pour régler des situations car il y a toujours place à une mauvaise interprétation. Cette phrase pourrait être interprétée de différentes façons mais pour moi elle a eu toute une résonnance non pas irritante mais plutôt réconfortante.
J’aurais dû me sentir menacée et en danger car on s’attaquait à mon bien être matériel mais je me suis plutôt surprise à sourire.
Une fois à la maison, j’ai discuté avec mon amoureux qui ne me donne jamais de réponse mais qui s’assure que je prendrai la meilleure décision sans aucun regret et que j’en assumerai les conséquences s’il y a lieu. Tout au long de la soirée je lui disais que, fait étrange je ne ressentais aucun stress, angoisse ou sentiment d’inconfort face à ce qui pouvait m’arriver suite à ma décision qui aurait un impact direct sur ma santé financière qui disons le tente de se remonter d’une longue agonie suite à mes 3 très très très récentes faillites.
Je me suis couchée en sachant que la nuit porte conseil et j’ai très bien dormie (ça aussi c’est étrange). Le matin je me suis réveillée merveilleusement bien avec une seule phrase en tête.
« Ma liberté je l’ai retrouvé lorsque j’ai perdu tous mes biens personnels et depuis je la savoure chaque jour à chaque souffle que la vie me donne »
Cette phrase se mit à jouer à répétition dans ma tête et le sentiment qui en découla fût de ‘la légèreté’. Comme si je venais d’ouvrir une porte devant laquelle mes pas s’étaient figés sur la direction à prendre pour continuer à avancer vers la réalisation de mes rêves. Mais plus encore, pour la première fois de ma vie je faisais un doigt d’honneur à cette sacré PEUR qui m’entrainait depuis toujours vers ce sentiment néfaste d’insécurité. Pour la première fois je réalisais réellement c’était quoi la liberté pour moi.
Je ne me suis pas départie de tout mes biens par choix pour aller chercher des réponses sur la vie en Inde mais ici à travers mes pertes imprévues des deux dernières années je comprends aujourd’hui que ma liberté c’est de ne pas être esclave de l’argent et de biens matériels au point d’abandonner mes rêves au profit d’autrui. Ma liberté c’est de respecter mes valeurs et mes convictions afin de préserver mon intégrité. Ma liberté c’est d’avoir le choix de dire oui ou non.
Il fût un temps où sur réception de son texto la guerrière en moi se serais aussitôt sentie attaquée, j’aurais sorti les armes sans chercher à savoir s’il y avait réellement une guerre et me serait assurée de gagner mais les sentiments qui en ressortaient étaient de l’angoisse, des doutes, de la culpabilité, de l’insatisfaction…il manquait toujours quelque chose à mon bien être et je ne savais pas quoi.
Mais aujourd’hui la guerrière en moi choisie ses guerres et elle préfère les régler pacifiquement ainsi j’en retire des meilleurs résultats. Les conflits font partie de mon ancienne vie, j’ai répondu avec mon cœur en toute simplicité que je comprenais et que je respectais son point et ses convictions et que pour ma part je choisissais de poursuivre mes rêves. Et honnêtement j’aurais jamais cru un jour dire ça en le pensant réellement à 100% (car facile à écrire et à dire mais encore faut il le ressentir) mais il est vrai que les solutions et les réponses sont en nous, non pas dans notre tête mais dans notre cœur.
Après avoir vécu dans le luxe et m’être vu dépouiller de tous mes biens me voici heureuse comme jamais dans mon ‘ghetto de Giffard’ et surtout fière d’être là où je suis dans mon cœur et dans ma tête. Aujourd’hui j’apprécie chaque chose que je peux m’offrir et je sais en reconnaître la valeur comme jamais j’ai su auparavant.
À la FINALE je REMERCIE du fond du cœur cette personne qui m’a ouverte à cette magnifique découverte sur ma liberté donc j’avais déjà lu dans des livres mais honnêtement jamais RESSENTI aussi intensément. Et le SENTI ne ment pas ☺
Aujourd’hui je peux crier haut et fort que je suis RICHE car je suis LIBRE et totalement détachée de l’insécurité financière et surtout capable de libérer la peur pour faire place au courage et demeurer fidèle à mes valeurs. Aujourd’hui je me sens comme un élève qui vient de graduer et mon diplôme c’est ‘des ailes’.
Aujourd’hui je peux dire que « La clandestine » voyage de plus en plus léger….
Et pour vous c’est quoi la liberté ?
Sans jugement, sans critique….
Peace, luv and….
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Bonne fêtes des mamans à toutes les mamans imparfaites de ce monde…
J’ai pas été élevé dans une famille que l’on considérerait ‘modèle’. Pour ma part je croyais que toutes les familles étaient comme la nôtre mais au fur et à mesure que je sortais de chez moi je me rendais bien compte que ce n’était pas le cas. Je me suis promise que si un jour j’avais des enfants (et j’en voulais) il ne grandirait pas dans ce même climat.
J’ai eu mes 3 amours, oh seigneur j’en remercie la vie chaque jour. Le premier a été le début d’un autre cycle de changement je devenais enfin une vraie femme mais surtout je déciderais de faire la paix avec la vie et de vouloir demeurer en vie plus que jamais puisque dorénavant j’avais une autre vie entre les mains.
Je suis devenue comme bien des mamans croyant que c’était le bon modèle, une SUPER WOMAN. A travers travail acharné temps plein, entraînement pour préserver mon corps tel qu’il était, construction de nouvelle business avec le conjoint, rénovation de maison et j’en passerai… mes enfants ‘paraissaient’ toujours impeccables. Partout où nous passions on nous gratifiait de compliments sur leur politesse, leur façon de se tenir et d’être habillé. On était tellement fière. On nous qualifiait de famille parfaite, on est hot, on travaille fort et on réussi à élever des beaux enfants comme ça…wow.
Et puis un jour la fatigue extrême ou burn out.. je sais pas je ne vais jamais consulté je m’écoute c’est tout. Mes enfants ont 2, 6 et 8 à l’époque, et je pleure et je pleure et je pleure… mon côté sombre refait surface. Je les regarde et je me sens indigne de les avoir reçu. Ai-je été une bonne maman ? Suis-je une bonne maman ? Je ne suis pas douce comme les ‘modèles’ de bonnes mamans, je crie lorsque je suis fâché, j’ai peu de tolérance et je suis impatiente. Non je ne suis pas digne d’avoir reçu ces amours dans ma vie. Et ils me voient pleurer, ça y est je vais les traumatiser…. OMG je n’en peux plus je voudrais disparaître pour les libérer de ce mauvais ‘modèle’.
Etant une guerrière de premier rang et me disant à l’époque que les dépressions et burn out c’est pour les faibles (OUF un autre chapitre à suivre sur cette ancienne pensée), je me remet (ou je crois m’être remise) vite sur pied mais cette fois-ci je me donne le DROIT de prendre du temps pour moi. À partir de ce moment là je me permets des gâteries pas pour nous, mais pour MOI. Je me permets de me faire plaisir et le défi fût de le faire SANS culpabilité et croyez moi ça c’est un autre cycle pas facile. Et comme j’étais une femme qui n’avait pas de juste milieu et bien j’ai été dans l’autre extrême et la vie me projetant l’image de ma mère dans plusieurs de ces situations. Cette mère que j’ai tant jugé et critiqué de ne pas avoir été une bonne maman. Et me voilà malgré multiples chemins empruntés pour ne pas être comme elle à me retrouver dans ce même ‘pattern’ de jugements et de critiques envers moi même dans mon propre rôle de maman.
Et puis un jour, pas très longtemps après mon divorce je me suis surprise à répéter un passage déclencheur identique à ce qu’elle avait fait autrefois et qui avait été inconcevable pour moi. Je suis allez voir ma maman et lui ai demandé pardon de l’avoir jugé toutes ces années. Pour la première fois je comprenais tout ce qu’elle avait du vivre comme souffrance, tristesse elle aussi à vouloir élever ces 4 enfants avec le peu d’instructions, de modèle et d’amour qu’elle avait eu.
À travers toutes ces erreurs commises j’ai toujours su qu’elle m’adorait plus que tout au monde car elle le démontrait bien à sa façon, sa façon qui ne me convenait pas puisqu’elle ne faisait pas partie des annonces de ‘modèle’ de maman parfaite.
De même façon que malgré toutes mes erreurs commises mes enfants savent et je leur ai toujours dit à quel point je les AIMAIS plus que tout au monde. Et que pour pouvoir les AIMER davantage je me devais de m’aimer avant tout et de pardonner les erreurs commises de mes parents mais avant tout de pardonner mes propres erreurs. C’est le travail que j’ai eu à faire aux cours des dernières années de m’AIMER MOI en tant qu’individu et non maman, femme, entrepreneur ou modèle de la société quelconque et de pardonner à ceux qui m’ont donné la vie et à moi-même et accepter mon côté authentique et unique.
Aujourd’hui à travers toutes les épreuves que je vis, je suis plus calme, plus sereine et plus aimante que jamais je ne l’ai été auparavant avec mes amours. A travers toutes ces pertes et douleurs ils ont retrouvé leur modèle exclusif de maman, mais par dessus tout à travers ce cycle de changement je viens de leur transmettre un beau modèle de ce qu’est réellement la vie. La vie ne peut pas être parfaite, les mamans, les papas, les enfants ne sont pas parfaits même si on y travaille. Permettons nous d’être imparfait et de s’aimer tel que l’on est. Et à travers l’imperfection nous y découvrirons des trésors et valeurs cachées inestimables.
Voilà c’est mon cadeau à moi de moi pour la fête des mamans….ça fait du bien de partager.
Sans jugement, sans critique….
Peace, luv and…une questions de perception 🙂
P.S Peut être aimeriez vous lire un autre texte en lien avec nos rôles de parents soit: Après avoir programmé mes enfants selon des modèles préconçus de la société
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Pourquoi « La Clandestine » ?
Une bonne question qu’une amie m’a posé lorsque j’ai choisi « La Clandestine » comme nom:
Pourquoi la clandestine ?? Tu trouve pas que ça fait un peu… heu…je sais pas…(avec un visage un peu hésitant)
Et bien voilà ma réponse:
Je n’ai jamais aimé suivre les règles à la lettre tant que ça ne manquait pas de respect à autrui, me fondre dans la masse, suivre la mode, allez dans les places ‘IN’ parce que c’est ‘IN’…non, j’ai toujours eu ce côté bien à moi, mon côté original et créatif…un peu hors norme quoi.
J’ai toujours eu ce petit côté un peu rebelle (ah ça aurait pu être un bon nom ça aussi) et aux cours des dernières années à travers l’obligation du bien paraître à travers mes business je me suis trop souvent muselée et rendue malheureuse à vouloir tellement bien paraitre aux yeux de tous ayant peur de blesser ou ne pas être acceptée. Et au bout du compte ça m’a brisé littéralement, j’ai perdu en cours de route qui j’étais vraiment et je me suis mise à être zombie tout simplement, n’éprouvant plus aucune émotion agréable à travers la vie que je croyais VIVRE.
Et à partir du moment ou je fût dépouillé de tout ce que j’avais et où j’ai osé sortir de ma zone de confort et me laisser aller à travers l’exploration et rencontrer des gens que je jugeais moi-même, me promener de résidence en résidence, travailler à des tâches que je n’aurais jamais cru (faire du ménage) explorer hors zone de ce que je croyais être MA VIE et remercier ce qui m’arrivait…. J’ai recommencé à voir une lumière au bout du tunnel, j’ai enfin retrouvé l’envie de VIVRE tout simplement.
Et ben voilà d’où la clandestine….aujourd’hui n’en déplaise à certaines personnes je vais m’exprimer pleinement à travers mes rêves et laisser aller ma créativité à puissance mille sans me soucier de ce que les autres en penseront. De toute façon je sais que ce qui en ressortira ne sera que pour du bon et ceux qui ne seront pas d’accord avec ma façon de le faire, et il y en aura assurément toujours, n’auront qu’à m’éviter c’est tout. C’est ce que je fais moi maintenant je me permets de partager avec qui j’ai envie de partager. Après tout en n’importe quel temps on est toujours libre de sortir d’une situation inconfortable non ?
Et à la finale je trouve que ça sonne bien ‘LA CLANDESTINE’ un peu provocateur…;)
Et vous êtes vous ‘Clandestine’ ??
Sans jugement et sans critique….
Ben voilà mon amie, JE T’AIME et MERCI d’être dans ma vie sans doute que d’autres comme toi, se posaient la même question.
PEACE XX
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